« Le marché s’est contracté, ce qui a pu mettre en difficulté certains acteurs », c’est le constat pour 2013 d’Olivier Robin, président de Meiko France, qui s’interroge : « Dans quelle mesure l’état et les collectivités locales pourront-ils continuer à soutenir l’économie en 2014 ? En effet, sans que cela puisse être interprété comme une tendance générale, nous avons déjà observé une baisse significative du nombre de dossiers dans certaines régions, en particulier dans le scolaire et l’hospitalier. » Avec le risque de « fragiliser certains acteurs », le secteur public représentant l’essentiel de ce marché. Mais public ou privé, « les démarches d’achat sont de plus en plus marquées par une dichotomie entre la recherche de produits low-cost – où le prix est déterminant – et la recherche de produits à forte valeur ajoutée – où le coût global de détention est déterminant -. Dans le secteur de la laverie, qui reste un des plus gros consommateurs d’électricité dans la cuisine, l’achat de matériels à forte valeur ajoutée ne s’opère qu’à la condition expresse de pouvoir justifier d’une réduction des coûts de fonctionnement : cela exclut les produits de moyenne gamme dont le niveau de prix est plus élevé que les produits low-cost, mais sans apporter de bénéfices décisifs. » Le positionnement de Meiko et la gamme des machines M-iQ « sont en phase avec ces attentes et la marque s’est toujours définie comme apporteur de solutions globales
