Les bureaux d’études cuisine ou restauconcepteurs® revendiquent leur spécificité et leur multi-compétence, mais aussi une exigence qualitative qu’ils mettent au service des projets de leurs clients. Travaillant dans un cadre où interviennent divers opérateurs, ils font souvent office d’interface et revendiquent à ce titre l’importance de nouer des partenariats, notamment avec les architectes, où les compétences doivent servir un objectif commun. Si leur rôle est aujourd’hui bien identifié, il manque encore pour beaucoup une juste rétribution. L’ingénierie de restauration s’inscrit dans une complexité – de secteurs, de contraintes réglementaires, de connaissances techniques – qui en fait sa richesse et sa force. Gains de productivité, qualité environnementale, optimisation des coûts et des surfaces, solutions en matière d’hygiène, ergonomie des postes de travail sont quelques axes sur lesquels ils travaillent au quotidien.
Et pour y parvenir, il faut avant tout avoir une bonne capacité d’adaptation et savoir bien définir les besoins, pour passer d’un office scolaire plutôt classique à une cuisine centrale hospitalière très spécifique ou à un restaurant d’entreprise plus créatif.
