Depuis presque deux ans, Vesto propose du matériel de cuisine professionnelle reconditionné.
Une offre unique au modèle développé main dans la main avec les fabricants. L’un de ses fondateurs, Arthur Rambaud, revient sur la genèse de cette société et son fonctionnement.
Au beau milieu du premier confinement, un trio de jeunes entrepreneurs a fait émerger la société Vesto. Unique en son genre, celle-ci propose de reconditionner du matériel de cuisines professionnelles. « Vesto est née d’une rencontre entre Wilfrid Dumas, Anne-Laurène Harmel et moi-même », raconte Bastien Rambaud, cofondateur. « Nous nous sommes retrouvés avec des constats et des solutions qui allaient bien ensemble : Anne-Laurène travaillait chez Murphy [reconditionnement de gros électroménagers, Ndlr] et elle avait vu que le reconditionnement fonctionnait sur des grandes machines ; Wilfrid est un ingénieur qui avait travaillé dans une ressourcerie. Il avait constaté que les gens jetaient beaucoup de choses, y compris en très bon état. Pour ma part, j’ai fait des études de commerce, puis je suis allé à Ferrandi et j’ai été commis de cuisine chez Pierre Gagnaire. J’avais constaté que le matériel de cuisine était du très bon matériel, conçu pour durer. » Ensemble, ils ont donc identifié une problématique de reconditionnement dans le monde de la cuisine professionnelle et ont construit le modèle de Vesto.
Coconstruire avec les fabricants
« Nous voulions aller chercher les besoins du terrain pour pouvoir y
