Parce qu’il est «interdit» de glisser sur les sols de nos cuisines, n’est-ce pas, on a inventé les caniveaux de sol…
Etant déjà financièrement relégué dans la mouvance des aléas car souvent refusé dans le lot «inox» du gros matériel cuisine et aussi souvent oublié ou plutôt sous estimé dans le lot «plomberie» (pour rester compétitif avec la concurrence !!!), l’objet SIPHON ou CANIVEAU DE SOL reste encore un mystère et un véritable obstacle quant à son utilité pour ses qualités, fait aussi étonnant que surprenant.
Ces «monstres asexués» ne font parler d’eux qu’après leur pose, à l’usage, quant ils fuient et que l’eau s’infiltre partout… pour arroser après «l’arrosage»… tout ce qui devait rester «au sec»…
… Et pour les mettre finalement en place, on perce et creuse sans pitié sous de fortes pressions, pas seulement avec des marteaux piqueurs, ou parfois aussi par des sciages radicaux, appelés «carottages», afin de «suspendre» et mettre en «porte-à-faux» (inconsciemment) les lourds blocs du «piano» sur une dalle porteuse, devenue «gruyère», qui doit en plus résister au feu jusqu’à deux heures et protéger efficacement les étages dans ce même but.
De ce fait, il faut mieux redonner au bâtiment, au travers de ses techniciens, confirmés et reconnus, les compétences et les responsabilités pour obtenir les meilleurs résultats souhaités…
… et définitivement abolir les contre-pentes du sol, condamner les «tôles embouties», rejeter les soudures en dehors de celles faites en argon, etc.
Sachant que
