La tendance du marché en 2002 était en ligne avec ce qu’on prévoyait, en macro, c’est-à-dire que l’on a fait face à un marché ralenti, mais avec un processus qui n’a pas été linéaire, ce qui a été une des difficultés de gestion», affirme Xavier Baró, directeur général de HMI-Thirode. Ainsi, le début de l’année a été «très calme» jusqu’au mois d’avril. Il «s’est redressé sur les mois qui ont suivi, puis est devenu très erratique à partir de septembre». Avec ce paysage en constant changement, il a donc fallu adopter «deux profils de gestion». D’une part, «gérer les grands objectifs» et d’autre part, «s’adapter en temps réel et avoir une réactivité maximum». D’ailleurs maintenant, insiste Xavier Baró, «nous avons atteint un très bon niveau de réactivité, ce qui n’était pas le cas il y a deux ans. Nous avions été un peu chahutés et donc désorganisés», entraînant «des difficultés à se mobiliser avec enthousiasme et cohésion». Le «problème de positionnement stratégique il y a deux ans» semble aujourd’hui résolu.
RENFORCER LA COHÉSION DES ÉQUIPES
HMI-Thirode s’est engagé à «déterminer une stratégie et à la mettre en place. Notre positionnement aujourd’hui est le suivant : nous sommes un réseau d’ensemblier, implanté au niveau local le plus fortement possible, avec un maillage fin, et une forte expertise en collectivité, qui s’appuie principalement sur les produits du groupe, à notre marque». L’offre produits allie robustesse, bon