Grandes Cuisines

HOPITECH 2006 : LA MAINTENANCE EN CUISINE CENTRALE HOSPITALIÈRE

Dans le cadre du congrès Hopitech, qui s’est déroulé à Reims du 4 au 6 octobre et dont elle est co-organisatrice, l’Union des ingénieurs hospitaliers en restauration (UDIHR) a abordé la question de la maintenance en cuisine centrale hospitalière. Nolwenn Beauverger, du CH de Pontoise, a présenté un état des lieux des différentes situations de maintenance en cuisine centrale hospitalière, en se basant sur une enquête qu’elle a menée auprès des adhérents du groupement d’achats du Val d’Oise et des membres de l’Udihr. Elle a pu établir les différents modes de gestion et, même si le nombre de réponses d’établissements étaient insuffisant pour obtenir des statistiques fiables, l’étude a permis de dégager des profils et des tendances.

Trois principes se distinguent : soit la maintenance est gérée en interne au niveau du service restauration, soit elle l’est par les services techniques de l’établissement hospitalier, soit la maintenance est externalisée. La première situation a concerné 9 des 22 établissements ayant répondu à l’enquête. «Le personnel est nécessairement polyvalent», souligne Nolwenn Beauverger, car tous les équipements sont concernés, cuisson, laverie, etc. Les points positifs sont la cohésion («le service maintenance fait partie de l’équipe») et la réactivité («la notion d’urgence est bien ressentie»). Parmi les points négatifs, elle a souligné notamment les problèmes de formation (permanente). Ce mode de gestion en interne, qui peut éventuellement intégrer la gestion des pièces détachées, a bien sûr un coût en

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