Grandes Cuisines

L’ACTIVITÉ DE CORBÉ CUISINE PROFESSIONNELLE PORTÉE PAR L’ENSEIGNEMENT PUBLIC EN 2001

2001 a été une année de «forte activité» pour la société Corbé Cuisine Professionnelle, indique Yvés Corbé, «mais avec beaucoup de problèmes d’absence de personnel», donc des difficultés à gérer au quotidien l’ensemble et le suivi des opérations. Par rapport aux autres années, le secteur de l’enseignement représente une part importante. Outre celle de Sautron (voir page 58), Corbé compte également à son actif les cuisines centrales de Sainte-Luce (670 000 francs/102 140 euros, avec notamment l’installation d’une laverie à avancement automatique) et d’Orvault (deux sites différents pour une cuisine centrale restructurée en 2000 et la seconde en 2001, pour un montant de 440 000 francs/67 077 euros), les écoles de Quéron, Saint-Herblain, en périphérie nantaise. En scolaire, «nous avons fait beaucoup de froid», dans les collèges «surtout des fours mixtes». D’un point de vue plus général, les évolutions qu’il constate portent le développement des demandes de laboratoires réfrigérés pour les préparations froides, de contrôle centralisé des températures («c’est devenu systématique, cela ne se faisait peu il y a encore deux ans»). Très présente également dans le secteur santé (hospitalier, maisons de retraite), la société Corbé a procédé en 2001 à des restructurations et des améliorations, avec «des nouveaux système de fours mixtes plus performants» (installation de fours mixtes «nouvelle génération» à l’hôpital de Saint-Nazaire), ainsi qu’en froid. A l’hôpital du Croisic, «nous avons refait les laveries, avec

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