Grandes Cuisines

Faire face à la diminution des opérations réellement engagées

Selon Gilles Castel et Sylvaine Bouquerel du FCSI France, la nécessité de nouveaux formats économiques devient impérative pour faire face aux freins actuels sur des projets toujours présents, mais fragilisés.
La professionnalisation croissante et l’élargissement des missions pour les bureaux d’études et consultants en restauration assurent néanmoins de bonnes perspectives, qu’il faut savoir chercher et préserver. Le rôle et l’implication du FCSI France sont plus que jamais indispensables.
Actuellement, « la conjoncture difficile que nous traversons génère une diminution du volume d’activité et une baisse du CA à volume de travail équivalent », observe Gilles Castel, président du FCSI France. « Si les petites structures, qui sont en majorité au sein des membres du FCSI France, peuvent s’adapter en réduisant leur marge, la période est plus douloureuse pour les grosses structures. Aucun secteur n’est épargné, que ce soit en restauration collective ou commerciale. Les projets sont pourtant là et la demande aussi, mais le manque de capacité de financement et la fragilité des maîtres d’ouvrage provoquent une diminution des opérations réellement engagées. Elle nécessite que de nouveaux formats économiques soient mis en place, avec une gestion plus professionnelle des opérations de création et de restructuration. Un point positif est la création de nouvelles missions pour nos consultants dans différents domaines : AMO, formation, expertise, etc ».

Gestion des fluides et de l’énergie
L’association FCSI France « représente 60 sociétés et compte 76 membres », indique Sylvaine Bouquerel. Les membres

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