« En 2013, le chiffre d’affaires de Capic est resté stable, mais le marché s’est révélé assez tendu, avec une baisse des marges. Les affaires sont de plus en plus bataillées. Il n’est pas évident de conquérir de nouveaux clients. Heureusement, nous comptons une clientèle fidélisée dans la restauration commerciale, collective et l’agroalimentaire »,
affirme Damien Bertignon, directeur général de Capic. « Depuis début 2014, une légère reprise semble s’amorcer. Toutefois, nous ne pouvons pas faire de prévisions, tant sur les volumes que sur la nature des produits. » Cette année, l’entreprise est amenée à traiter davantage de gros dossiers que l’an passé. à titre d’exemple, des renouvellements de matériels dans des lycées pédagogiques en France et à l’export, entre autres aux Pays-Bas. Depuis six ans, cette société a en effet résolument pris le cap de l’export en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient : « Ces nouveaux marchés permettent ainsi de compenser les fluctuations du marché français », commente Damien Bertignon. Côté nouveaux produits, Capic a lancé en 2013 le Capitoc (matériel compact combinant marmite avec mélangeur et sauteuse) pour les collectivités réalisant 50 à 300 repas/jour. « Les ventes ont bien pris leur envol en France et à l’international, notamment à Dubaï et en Australie », précise-t-il. Depuis avril 2014, Capic propose une nouvelle ligne de self aux motifs personnalisables : le Capichef, fourneau pour la restauration commerciale (50 à 100 couverts), doté de 4 feux gaz,
Fidélisation des clients sur un marché difficile
