Snefcca
«Les installateurs ont subi au second semestre un ralentissement de leur activité. On ne peut que noter une forte baisse de l’investissement des collectivités territoriales », constate Philippe Roy, Secrétaire Général du Snefcca, pour l’exercice 2012.
Activité ralentie
Fait plus qu’avéré en 2013 et observé par les adhérents du Snefcca : « Les queues de budget inhérentes aux marchés publics sur le segment de la maintenance, en d’autres termes les reliquat budgétaires de fin d’année, ont totalement disparu depuis deux ans », déplore le Secrétaire Général du Snefcca. Pire encore : « Les collectivités locales ont même stoppé l’investissement en entretien et maintenance ». Ajoutés aux marges déjà faibles des installateurs et à la concurrence, ces éléments cristallisent l’argument du prix dans les négociations. « En 2013, le premier semestre ne s’engage pas sous de bons auspices et la fin de l’année risque de susciter des interrogations. Les marchés publics lancent des appels d’offres avec de moins en moins de lots séparés et les attributions sont, en général, accordées