Grandes Cuisines

La meilleure année en termes de rentabilité

« En 2014, nous n’avons pas connu de croissance du chiffre d’affaires, mais elle fut notre meilleure année en termes de rentabilité », observe le président d’Hobart, Fabrice Mezzomo. Dans le détail, « les investissements en restauration commerciale indépendante restent faibles. Les clients manquent souvent de visibilité à cause du contexte économique ou encore des nouvelles réglementations. Il y a donc une forte diminution des appels à projets. Et, quand il y en a un, la rareté des offres et les difficultés de financement pour le restaurateur indépendant font qu’il y a une forte pression sur les prix réduisant, de fait, les marges des fabricants et des distributeurs ».
Pour la restauration commerciale chaînée, « nous avons constaté une augmentation de l’activité surtout pour la restauration rapide. Enfin, les collectivités publiques subissent de plein fouet les restrictions budgétaires. Il y a moins d’appels d’offres et tous les acteurs se ruent dessus ! », affirme-t-il. « Le prix devient un critère déterminant. Il y a beaucoup de dossiers qui présentent une tarification avec des marges si faibles que nous nous demandons comment ils réussissent à parvenir à un équilibre commercial. Les clients qui renoncent à s’équiper de nouveaux matériels veulent alors des professionnels compétents pour s’occuper du SAV. Chez Hobart, la croissance de l’activité SAV a été supérieure à l’activité "machines". Il y a de plus en plus d’appels d’offres concernant la maintenance des équipements de cuisine. Pour une entreprise structurée

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