Pour Bourgeois, le marché 2013 a été marqué par une « faiblesse des investissements » et une « grosse pression sur les prix », comme le note son dirigeant Guy Babolat. Néanmoins, dans ce contexte, le rachat de la société Métal Industrie il y a un an, avec ses marques Solymac et Delaubrac, a en effet permis au groupe Bourgeois d’élargir son offre en matériels de cuisson et donc de proposer de nouveaux équipements (gammes horizontales 700 et 800, fours à pizza), mais aussi de repartir à la hausse en 2013 avec un chiffre d’affaires France à 4,5 millions d’euros (+ 32 %), après une baisse affichée lors de notre précédente enquête. Le CA total reste cependant moins éloquent, l’export ayant fortement chuté. Bourgeois a participé à plusieurs salons et a été partenaire de plusieurs événements, comme le World Omnivore Tour à la Mutualité à Paris ou l’Atelier Cuisine Live au salon Food in Sud à Marseille, tous deux en mars dernier. Pour cette année 2014, le principal objectif est « la consolidation de notre position en France », souligne Guy Babolat, « et, pour 2015, le développement d’une nouvelle gamme de fours de cuisson ».
Une offre élargie pour consolider sa position
