Grandes Cuisines

RAISONNER EN COUT GLOBAL

Le marché de la grande cuisine ne s’affranchit pas d’un contexte économique général difficile. La morosité touche les bureaux d’études qui, comme vous le constaterez dans notre dossier exclusif, doivent faire face aux ralentissements et aux incertitudes. Si certains réussissent à tirer leur épingle du jeu, beaucoup estiment qu’il faut savoir faire «le dos rond» en attendant des jours meilleurs. Car à l’enrayement des investissements actuels répondent des besoins qu’il faudra finir par satisfaire. Point positif, la notion de coût global semble prendre de l’ampleur et entrer dans les moeurs : un atout pour les bureaux d’études cuisine qui ont parfois encore du mal à valoriser leur expertise sur les projets de construction et de restructuration. Cette anticipation et ce mode de calcul intégrant les coûts d’exploitation (usage, entretien…), au-delà de l’investissement initial et immédiat, sont à même d’apporter une autre vision de la rentabilité. Et permettent l’assimilation de solutions environnementales vouées à devenir incontournables.

Quitter la version mobile