Grandes Cuisines

Bourgeois – Guy Babolat

Bourgeois a de la suite dans les idées

Si la crise a affecté l’ensemble du secteur, Bourgeois ne fait pas office d’exception. Son chiffre d’affaires France est, hélas, passé de 3,6 millions d’euros à 3,4 millions d’euros. « Le marché est extrêmement difficile, surtout depuis septembre 2012. Les volumes et les prix sont clairement orientés à la baisse. Le secteur de la restauration commerciale est en proie à des difficultés notoires d’investissements. A l’export, l’Espagne et la Grande Bretagne sont également en souffrance, même si le contexte difficile a été quelque peu atténué au moment des Jeux Olympiques. Du côté de la RHF, l’exercice 2013 s’annonce également pénible », affirme Guy Babolat, sans langue de bois. Pour autant, l’entreprise fait preuve de dynamisme et n’hésite pas à investir et innover. En effet, Bourgeois a choisi d’élargir sa cible en 2012 via le lancement de fours mixtes Zénith encastrables à destination du Grand-Public.
Un pari réussi, puisqu’à date, Bourgeois a vendu une centaine de fours. « Le grand public est très sensible à la cuisine depuis plusieurs années », commente Guy Babolat qui a su saisir cette opportunité sans attendre.
Un succès qui s’explique également par la reprise en plan de cession de la société Metal Industrie, fabricant des marques Solymac et Delaubrac par Bourgeois, en date du

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