CUISINE CENTRALE DE NANTES UNE RÉVISION COMPLÈTE


© K. AVERTYLa zone cuisson


C ‘est en 1984 que la ville de Nantes décide de centraliser la restauration et la première cuisine centrale municipale voit le jour en 1989. Assurée en gestion directe (excepté l’assistance technique d’une société de restauration au début), la restauration porte sur 8 000 à 9 000 rationnaires. Redimensionner les locaux s’avère nécessaire et «en 1997, la ville décide de refaire la cuisine», indique Jean-Paul Veber, responsable de la restauration. En 1999, le choix se porte sur une restructuration et un agrandissement. Le projet est budgeté sur 2001 et 2002 (4,27 Meuros/28 MF). La marche en avant n’était pas respectée partout dans l’ancienne cuisine centrale et «obligeait à mettre en place des procédures de travail palliatives lourdes». Tout a été revu, de nouveaux matériels ont été intégrés, l’agencement des zones remanié et la surface presque doublée pour atteindre environ 1 400 m2.


UNE CAPACITÉ DE 1 300 REPAS/JOUR


La production peut monter jusqu’à 11 000 repas/jour, avec la possibilité de portage à domicile et les plats de substitution pour les enfants allergiques (allergies simples, une société privée étant chargée des allergies complexes). © K. AVERTYLa laverieMais la capacité actu- elle de la cuisine centrale est de 13 000 repas/jour. Outre les 88 restaurants scolaires desservis pour 123 écoles, la cuisine centrale produit également des repas pour les centres de loisirs, et les petits-déjeuners pour 900


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