Beaucoup de rénovations et de mises aux normes


Si la société existe depuis 1979, son statut actuel date 1996, suite à son rachat, explique Annick Rouger (c’est son beau-père qui avait créé la société). Elle en est la gérante, tandis que son mari Jean-Michel occupe les fonctions de directeur commercial. Ils se sont positionnés sur la grande cuisine depuis cette époque. Auparavant, les trois frères travaillaient ensemble en boucherie-charcuterie-traiteur. Un commercial avait d’ailleurs été embauché pour développer spécifiquement la grande cuisine, «il s’occupe aujourd’hui des gros chantiers des marchés publics», indique Annick Rouger. Par la suite, l’entrée au GIF en 2001 «nous a permis de mieux travailler grâce à des prix plus compétitifs, d’être plus connus, d’avoir des moyens – catalogues, communication – dont nous ne disposions pas dans le sud. C’est très porteur d’appartenir à un tel groupement», poursuit-elle.


80 % en restauration collective


Rouger affiche un chiffre d’affaires d’environ 1,887 million d’euros en 2005-2006 et 2 millions d’euros en 2006-2007. Le SAV augmente proportionnellement au volume d’affaires. De photos © Rougerl’ordre de 9 %, il est «une vitrine pour l’entreprise» et un moyen de fidéliser la clientèle. Celle-ci est de plus en plus exigeante, il faut maintenir le lien car elle va vers le plus réactif. «Cela évolue, mais le prix reste un critère primordial dans les choix et nous sommes confrontés à des sociétés qui tirent le marché vers le bas, nous sommes obligés


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