
Sans chanter «Tout va bien madame la marquise», comme il aime à le répéter, et tout en restant le plus discret possible sur ses chiffres, François Caillarec patron de Capic, considère que 2000 a été une meilleure année que 1999. Surtout grâce au marché français, l’export ayant marqué le pas en 2000. Il a pu passer ses augmentations de prix du fait de la hausse de l’inox, et s’estime satisfait de cette année passée. En 2001, son activité d’équipementier de l’agroalimentaire est fortement touchée par la violence de la crise dans la filière viande et le blocage de tous les projets. En revanche, l’activité en secteur cuisson se maintient à peu près, légèrement en dessous de l’année précédente.
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