
Après une année 1999 décevante, Socamel a retrouvé le chemin du développement. La firme, un peu limitée sur le marché français du fait du fort taux d’équipement en liaison froide du secteur hospitalier, ne peut trouver qu’à l’export des terrains de croissance. L’accord réalisé avec la société américaine Aladin a permis à Socamel de rebondir sur le marché américain. En tout, ce sont dix-huit accords avec des agents étrangers qui ont été signés ou revalidés en 2000. Les résultats ne se sont pas fait attendre, par le doublement du chiffre d’affaires à l’export pour atteindre 43 MF. Socamel a commencé à vendre dans des pays où il ne commercialisait que très peu : Suède, Autriche, Allemagne, Australie, Portugal. L’avance technologique française sur la liaison froide commence à payer. Parallèlement, Socamel tire les bénéfices de ses restructurations d’outils industriels et des synergies dont il peut bénéficier avec les autres entreprises du groupe.
Il reste 10% de l’article à lire
Pas encore abonné ? Abonnez-vous !
Vous êtes abonné ? Connectez-vous
Accédez à l’ensemble des articles de Grandes Cuisines à partir de 30€
S'abonner
