
«C onstruite en 1982, notre cuisine centrale du boulevard de l’Europe était de première génération et n’était plus adaptée aux impératifs industriels d’aujourd’hui», explique Thierry Velly, responsable des services périscolaires. «Il y a quatre ans, son état dégradé nous a conduit à demander un diagnostic et des préconisations, qui avaient été confiés au cabinet parisien Afhor-Omnires. Le choix se situait entre une restructuration sur place ou une construction neuve. Il est apparu que la première solution aurait coûté plus cher que du neuf, en moins pratique. Nous avons donc penché pour du neuf, à implanter à un endroit moins enclavé». La ville a choisi comme emplacement la zone d’activité du Vern 
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