
La restauration est en pleine mutation, qu’elle soit semi-gastronomique et traditionnelle, qu’elle soit tendance ou qu’elle frise la restauration rapide. Du fait de l’enchérissement rapide et systématique du coût de la main-d’oeuvre, les impératifs de rentabilité sont de plus en plus difficiles à suivre pour les restaurateurs. Cette rentabilité passe par une notable amélioration de l’organisation dans les restaurants, y compris dans les cuisines. Le bureau d’études et l’installateur ont pleinement leur rôle à jouer dans ce défi de la productivité que la restauration commerciale indépendante et la restauration collective en gestion directe ont du mal à relever pleinement.
L’installateur n’a plus pour fonction unique d’installer un matériel, il doit adapter son installation de cuisine aux mutations de la restauration. Il doit étudier les modes opératoires 
Ce diagnostic complexe à faire nécessite de l’écoute, de l’analyse et beaucoup de savoir-faire. Combien d’installateurs ont suivi et enregistré en détail plusieurs services de leurs clients avant d’élaborer des solutions d’installation et de matériel ? Parallèlement, l’installateur doit assister le client dans sa nouvelle cuisine lors de ses premiers services. Cette fonction de conseil, surtout lorsqu’il n’y a pas de bureau d’études, est celle qui rendra l’installateur crédible et qui fidélisera le client tout en donnant des références exemplaires à l’installateur. Bien sûr, ce travail coûte
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