
La position d’ensemblier du traitement de l’air de cuisines professionnelles donne à VIM un avantage de plus en plus perceptible. Devant la sophistication croissante des installations, les bureaux d’études et les installateurs apprécient de traiter l’ensemble du problème avec un fournisseur unique. Parallèlement, le marché du traitement de l’air en cuisine s’est développé, tiré par des exigences de confort pour le personnel et par l’équilibre aéraulique nécessaire lors de l’installation de climatisation dans les salles de restaurant. Le traitement de l’air s’est complexifié et le simple placement d’un extracteur et d’une hotte ne suffit plus à répondre aux problèmes d’hygiène et de confort.
Avec 12 % de progression de son chiffre d’affaires en 2006 et une tendance au moins égale en 2007, Frédéric Laurent estime que le point majeur ne réside pas dans un marché qui se confirme comme dynamique mais dans les marges qui sont à la baisse du fait d’une hausse de l’inox que les augmentations de prix n’arrivent pas à couvrir.
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