Comme beaucoup d’autres entreprises du secteur de la grande cuisine, Sanipousse ne dispose d’aucune visibilité à court et moyen terme. A partir de là, il est difficile de construire une stratégie de développement. Ce phénomène confiné a été très marqué en 2005 et ne se montre guère plus encourageant cette année. Jean-Luc Chiron avoue sans détour que la situation impose des actions au mois le mois sans possibilité d’anticipation. Il n’est pas rare non plus que l’on nous rétorque «nous avons des matériels en panne que nous ne pouvons même pas faire réparer alors vous pensez bien qu’il n’est pas question d’en acheter des neufs. Et ce, même s’il s’agit de se mettre aux normes. – Avec de tels arguments, il nous est difficile d’insister… Comme si cela ne suffisait pas, 2005 a aussi été une année de hausse de tarifs des matières premières qu’il a fallu répercuter. Nous avons donc été obligés de trouver des solutions économiques sur la production de nos produits pour maintenir nos tarifs et nos marges.» Cela étant, Sanipousse a réussi une petite progression liée à l’intégration d’un nouveau matériel destiné à la traçabilité de l’étiquetage, le Tracetik. Il faut quand même rappeler que la France est particulièrement en avance dans le domaine de l’hygiène. Sanipousse en est un sérieux représentant avec des appareils comme le Sanitest, le Sanibruiz ou encore les housses à effet bactérostatiques pour recouvrir et protéger les chariots ou, par exemple,
Il reste 33% de l’article à lire
Pas encore abonné ? Abonnez-vous !
Vous êtes abonné ? Connectez-vous
Accédez à l’ensemble des articles de Grandes Cuisines à partir de 30€
S'abonner
