DES PARTENARIATS COMME ATOUTS


Avec le « marasme » relatif qu’il y a eu en hôtellerie-restauration, BBFC Equipement hôtelier, la société dirigée par Philippe Samuel , a été de plus en plus présente en collectivité. « On travaille de plus en plus, on refuse même des marchés car on ne peut pas assumer avec notre structure ». Pour lui, la situation est donc au beau fixe, avec 17,6 millions de francs de chiffre d’affaires en 2000, dont 7,5 millions en Grande Cuisine. « Je ne lie pas (l’évolution de l’entreprise, ndlr) au marché mais à mes commerciaux », dit-il.


PEU DE SAV


L’activité en Grande Cuisine nécessite selon lui « beaucoup de travail avant et après, et un plus grand investissement en matériel que les arts de la table ». D’ailleurs, reconnaît-il, « j’ai toujours le défaut de comparer les deux ». Il travaille avec la même équipe depuis des années, équipe qui a intégré il y a trois ans un commercial « plus axé sur les collectivités ». Parmi les installations (partielles) récentes sur ce secteur, l’hôpital de Fleyriat à Bourg-en-Bresse ou des lycées, collèges et diocèses, en particulier dans le Jura (5 millions de francs de CA dans ce département). BBFC installe « surtout des fours et lave-vaisselles. Je refuse la ventilation et les chambres froides, car il y a trop de SAV », explique-t-il. Il ne veut « surtout pas » se développer dans ce domaine. Il fait partie des membres fondateurs du groupement Euro CHR. « Pour nous, c’est une réussite ». Avoir un « catalogue avec des fournisseurs


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