Meiko – Olivier Robin
Pour Olivier Robin, «le contexte économique a accentué la fracture entre les différents profils d’acheteurs. Seules les marques Premium peuvent prétendre satisfaire les exigences accrues des acheteurs orientés vers l’analyse du coût global de leurs investissements. C’est la raison pour laquelle elles ont plus de chance de traverser les difficultés économiques sans trop de heurts, voire avec une certaine réussite», contrairement aux «entreprises tournées vers le prix ou avec un rapport qualité-prix sans valeur ajoutée». Meiko France a ainsi enregistré un nombre record de commandes au premier trimestre 2012. Ce qui prime dans les attentes ? Efficacité, économies et confort de travail. Même si «certains clients achèteront toujours un prix», l’ouverture à la qualité permet de faire évoluer les comportements d’achat, largement aidée par la généralisation du développement durable. C’est un biais pour motiver les changements dans les collectivités publiques, toujours soumises aux contraintes budgétaires. Des changements plus faciles dans les collectivités privées…
Le groupe a lancé un système d’osmoseur intégré GIO sur les machines à avancement automatique M-iQ et des machines spéciales à convoyeur BA M-iQ (première installation cette année sur le site de l’Ecole Polytechnique à Palaiseau). «Les machines à avancement M-iQ et le système de traitement de déchets WasteStar sont des innovations majeures, dont nous n’avons pas encore exploité tout le potentiel : des déclinaisons à travers de nouveaux modèles ou variantes permettront de répondre encore plus
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