
Alvène – Philippe Capoulade
L’année 2011 s’inscrit selon Philippe Capoulade «dans la continuité de 2009-2010, avec de grosses tensions au second semestre, un volume d’affaires en baisse et une dégradation des marges», après un premier semestre correct pour Alvène. Un constat porté plus particulièrement «en restauration commerciale classique ou basique», où domine «la crainte d’investir», tandis que «la restauration rapide se développe». Le haut de gamme se porte plutôt bien, avec par exemple l’installation de plafonds filtrants. «La progression en collectivités, où nous avons pris des parts de marché, nous a permis de développer notre chiffre d’affaires global. C’est le fruit de nos investissements en communication et image de marque, mais aussi la conséquence de cahiers des charges pointus sur la ventilation». Alvène, qui ne fait pas de vente directe mais passe par les installateurs, profite d’un «marché de plus en plus bordé par rapport à la réglementation. La ventilation est mieux considérée, avec une prise de conscience sur l’intérêt de produits à marge et très techniques. Nous travaillons auprès des prescripteurs, comme les bureaux d’études. C’est important que le lot ventilation/captation soit intégré au lot cuisine». Les préoccupations autour du développement durable sont un atout : «La ventilation est gourmande en énergie et il existe des solutions d’économie !»
Le manque de visibilité est un véritable problème : «Nous sommes passés de 3 semaines-1 mois il y a deux ou trois ans à
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