L’enquête bureaux d’études de Grandes Cuisines constitue la seule démarche existante aujourd’hui ayant pour objectif de décrire et d’analyser ce secteur très spécifique, partie prenante dans la filière d’équipement et d’organisation des cuisines professionnelles. Le taux de réponses à cette enquête pourrait être supérieur à celui obtenu, sachant que l’on évalue le secteur à 200 intervenants spécialisés (consultants individuels ou entreprises) et que, comme l’an dernier 75 réponses ont été enregistrées. Malgré cela, cet échantillon est le plus important constitué sur cette profession assez insaisissable par ailleurs. Car les architectes, ingénieurs et techniciens des bureaux d’études de Grandes Cuisines ont la particularité d’être en état permanent de sur occupation. Ce qui peut être interprété de deux façons. Soit c’est une profession qui est face à un marché porteur, qui la sollicite beaucoup, soit l’absence de marges les contraint à fonctionner avec des structures trop légères.
Un miroir de la profession
L’an dernier, comme cette année, le principal du texte de cette enquête était issu des commentaires provenant des bureaux d’études eux mêmes. Pourtant plusieurs lecteurs se sont dit peinés des critiques du magazine concernant la profession des BET grandes cuisines. En fait, il n’y a aucun jugement du magazine sur la profession hormis celui de constater que l’ensemble de la filière ne pouvait se passer des BET et qu’il serait suicidaire d’essayer de le faire, que l’on soit maître d’ouvrage ou installateur. Toutes les considérations d’ordre critique avaient comme source la
Il reste 71% de l’article à lire
Pas encore abonné ? Abonnez-vous !
Vous êtes abonné ? Connectez-vous
Accédez à l’ensemble des articles de Grandes Cuisines à partir de 30€
S'abonner
