
Même lorsqu’il a pensé à s’orienter différemment, François Lamure a toujours été rattrapé par la grande cuisine. Au début, il a appris son métier dans l’installation en travaillant jusqu’en 1985 chez Segogem, le plus gros installateur de l’époque en région parisienne. Il fut ensuite l’agent général de la société Kupperbusch. Mais son intérêt était de se rapprocher le plus possible de la réalisation d’un chantier de grande cuisine et il s’associa pour monter le bureau d’ingénierie Alta. Il conçut ainsi de belles réalisations de cuisine, par exemple celles des bâtiments de la société L’Oréal. Puis, cinq ans après, il créait un nouveau bureau d’études, Mosaïc.
Répondre aux pressions du marché
En reprenant ensuite la direction commerciale de l’inoxier Guyon, il a mesuré la difficulté d’être un industriel en France dans un secteur aussi concurrentiel. La mise en place de son nouveau projet, la création de Flinox en 2005, partait de plusieurs constatations : la pression sur les marges des distributeurs et donc les tensions sur les prix de marché dans les marchés publics, conjuguée à l’exigence de qualité des acteurs de l’ingénierie.
«J’ai pensé qu’il était intéressant de créer une structure commerciale pour les fabricants absents du marché français afin de les faire 
Objets inox et chariots
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