Jan Vangoidsenhoven a travaillé au Royal Winston à Bruxelles et Christophe Weber a oeuvré pendant six ans pour les restaurants des Hilton implantés à Strasbourg, Cannes et Berlin. Leurs expériences respectives en restauration les conduisent aujourd’hui à un bon compromis culinaire, après qu’ils aient franchi plusieurs obstacles : attendre l’ouverture de l’hôtel repoussée d’avril à juillet après décision de la Commission de Sécurité, motiver au maximum la brigade jusqu’au jour J, et passer l’inévitable période de rodage en juillet-août dernier. «Il a bien fallu être opérationnel très rapidement pour assurer toutes les prestations : banquets, repas servis à la brasserie belge, petits-déjeuners, room-service …», affirme l’un des chefs avant de préciser que la brigade compte dix-huit personnes et que cette jeune équipe a dû s’adapter à une cuisine toute électrique, dotée de la technique de l’induction qui, selon lui,
Christophe Weber tempère néanmoins ses propos en soulignant : «L’induction, ça marche très bien quand ça fonctionne ! Il faut en outre un certain temps pour se familiariser avec cette technique. Le personnel a donc dû s’y mettre avec notre aide. Nous avons contribué, avec Jan, à leur apporter notre savoir-faire en ce domaine».
EN TETE DES HILTON EUROPEENS
Malgré les difficultés rencontrées, participer à l’ouverture de cette cuisine a motivé