Voilà plusieurs années que l’alerte a été donnée. En 1999, il y a eu «des remarques de la DSV», explique Philippe Leray, adjoint à l’action économique, aux bâtiments communaux et agriculture. La cuisine centrale «n’était plus aux normes». Un projet de restructuration était envisagé, mais sa situation en centre ville était peu pratique. Même si la sous-traitance a été un point examiné, le souhait était finalement de conserver le service en autogéré. «La connaissance des matières premières, l’aspect qualité et équilibre des repas, avec la réactivité par rapport aux problèmes posés, sont pour nous très importants».
De plus, prévoir
«Il nous fallait quelque chose de fonctionnel, au moindre coût». L’aspect technique est loin d’être négligé, les groupes «froid» sont par exemple sur le toit et accessibles